Viatris Révolutionne l’Accès au Traitement de la D.E.

Diabète, faiblesses cardiovasculaires, hypertension, obésité, dépression, anxiété, etc. la D.E. est bien souvent un signe ou une conséquence des pathologies non transmissibles (MTN), au sens plus large, qui touchent près de 80% des adultes dans le monde avant l’âge de 70 ans. Problème de santé publique, son impact significatif sur la productivité au travail, ainsi que sur la qualité de vie globale, a un coût réel sur l’économie. En effet, des études montrent que les hommes souffrant de la D.E. ont des taux plus élevés de baisse de rendement et sont moins épanouis dans leurs vies professionnelle comme privée.

En facilitant l’accès au sildénafil — approuvé en mars 1998, ce médicament générique du Viagra est un traitement de première ligne contre la D.E. recommandé par l’Association Européenne d’Urologie (EAU), l’Association Américaine d’Urologie (AUA), la Société Internationale de Médecine Sexuelle (ISSM) et la Société Européenne de Médecine Sexuelle (ESSM), pour ne citer que celles-là — au plus grand nombre, au Nigeria, au Kenya, au Ghana, au Sénégal et en Côte d’Ivoire, Viatris entend contribuer durablement à la bonne santé (physique et mentale) des populations, notamment dans les régions mal desservies, et influer considérablement la prise en charge de la D.E. en Afrique Subsaharienne.

A cet effet, Arvind Kanda, le responsable des marchés en Inde et des marchés d’accès (ARV, Inde, Afrique du Sud et Afrique Subsaharienne) chez Viatris rappelle d’ailleurs que depuis plus de 25 ans, le Viagra (sildénafil) est un traitement fiable et bien toléré. “Il a aidé des millions d’hommes à retrouver confiance et à reprendre leur vie en main !” Notifie-t-il. “En rendant notre traitement de référence contre la D.E. plus accessible et plus abordable dans certains marchés de l’Afrique Subsaharienne, nous favorisons un meilleur accès à ce médicament indispensable tout en encourageant les hommes à chercher un soutien médical en temps opportun.” Explique-t-il.

Dans de nombreuses régions d’Afrique Subsaharienne, la stigmatisation culturelle entourant les problèmes de santé sexuelle empêche généralement les hommes de demander de l’aide. Pourtant, plus de 90% des hommes et de leurs partenaires reconnaissent que la D.E. est un sujet sur lequel l’on doit pouvoir discuter ouvertement. Or, les non-dits, la loi du silence, l’omerta qui entourent cette question rendent difficiles sa compréhension. Dans le cadre de son initiative, Viatris ne compte pas se cantonner à l’amélioration de l’accès à son traitement. Ses Dirigeants confient que des actions accrues de sensibilisation à la D.E. sont également prévues au Nigeria, au Kenya, au Ghana, au Sénégal et en Côte d’Ivoire.

KOFFI-KOUAKOU Laussin

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