District d’Abidjan : Cissé Bacongo plaide pour la continuité du développement et la consolidation des acquis économiques

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L’événement, tenu au lendemain du grand meeting de Daloa présidé par le président Alassane Ouattara, a rassemblé cadres, élus, entrepreneurs et sympathisants du parti au pouvoir, venus réaffirmer leur engagement en faveur de la stabilité et du développement continu du pays.

Dans son allocution, Cissé Bacongo par ailleurs directeur national adjoint de campagne pour neuf communes du District (Port-Bouët, Koumassi, Treichville, Plateau, Cocody, Bingerville, Adjamé, Marcory et Attécoubé) a mis en avant le bilan économique du président sortant. Il a rappelé que la candidature d’Alassane Ouattara découlait de la volonté des forces vives de la Nation, tout en insistant sur les résultats concrets obtenus en matière d’infrastructures et de services publics. « La politique, ce n’est pas le bavardage, c’est le concret. C’est régler les problèmes réels des populations », a-t-il affirmé, évoquant les projets structurants tels que l’autoroute Abidjan–Bouaké, la modernisation des universités, la rénovation du réseau électrique, la construction d’écoles, d’hôpitaux et de routes.

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Pour lui, ces réalisations traduisent la volonté d’un État tourné vers l’action et la performance économique. Cissé Bacongo a également rappelé la place stratégique du District autonome d’Abidjan dans la trajectoire de croissance du pays. Représentant près de 60 % du PIB national et abritant plus de la moitié du tissu industriel ivoirien, Abidjan concentre l’essentiel des investissements publics récents en matière d’urbanisme, de mobilité et d’assainissement.

Dans cette optique, le ministre-gouverneur a appelé les militants à devenir des relais du développement local, en promouvant un message d’unité et de participation. « Rentrez chez vous et parlez à vos voisins. Dites-leur qu’Alassane Ouattara a une solution pour chacun », a-t-il lancé, invitant à fédérer au-delà des appartenances politiques.

Abordant les critiques sur la longévité du pouvoir, Cissé Bacongo a recentré le débat sur les besoins concrets des populations, notamment infrastructures, écoles, hôpitaux et universités.

Selon lui, les défis actuels exigent moins de polémiques politiques et davantage de concentration sur la gouvernance économique et la gestion des priorités sociales. « Il faut dire à ceux qui parlent de mandats que nous, nous parlons de routes, d’écoles et d’emplois », a-t-il tranché, renvoyant l’action publique au terrain des résultats tangibles.

Avant lui, plusieurs intervenants dont Issouf Doumbia, porte-parole des directeurs de campagne, Éric Taba, coordonnateur de Cocody, et Célestin Koala, coordonnateur adjoint du RHDP à Cocody ont salué le leadership de Cissé Bacongo, son sens de l’écoute et son engagement pour la réussite du projet de développement du District.

Le meeting d’Angré s’inscrit dans un contexte de forte mobilisation à deux semaines du scrutin présidentiel du 25 octobre 2025, qui verra s’affronter cinq candidats : Alassane Ouattara (RHDP), Simone Ehivet Gbagbo, Ahoua Don Mello, Jean-Louis Billon et Henriette Lagou.

Avec 8,7 millions d’électeurs, le District autonome d’Abidjan demeure la circonscription la plus déterminante du pays.

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Au-delà de l’aspect politique, la rencontre a mis en lumière la volonté des autorités locales de poursuivre la dynamique de modernisation d’Abidjan, renforcer les infrastructures urbaines et consolider les acquis macroéconomiques.

Le message de Cissé Bacongo s’inscrit ainsi dans la continuité d’un modèle axé sur la croissance, la stabilité et l’investissement productif, piliers d’une Côte d’Ivoire émergente et compétitive.

Julien Koffi


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